Communiqués de presse : 2012
- L'UNAF et Familles Rurales votent contre les nouveaux tarifs de la copie privée (21/12/12)
- Déserts médicaux : Première préoccupation des familles des territoires ruraux (17/12/12)
- Grand froid sur la France : Tous les foyers sont concernés ! (14/12/12)
- Prix des carburants : mais qui se soucie des familles ? (29/11/12)
- Hausse de la TVA : mauvais choix pour les familles ! (07/11/12)
- Raccourcir le congé parental : oui mais… (19/09/12)
- Modification de l’offre des recharges prépayées Familles Rurales enfin entendu ! (07/09/12)
- Les enfants savent-ils composer un menu équilibré ? (06/09/12)
- Tarification progressive de l’énergie : attention à la double peine ! (05/09/12)
- Baisse des prix du carburant, l’effort doit être partagé ! (28/08/12)
- Communications électroniques : Non aux effets d’annonces, oui à la transparence (23/07/12)
- Familles Rurales rencontre la ministre déléguée à la Famille (12/07/12)
- Panne du réseau Orange : une obligation de réparation et pas seulement un « geste commercial » (10/07/12)
- De nombreuses familles souffrent toute l’année du manque de confort et des performances énergétiques médiocres de leur logement (29/06/12)
- Familles Rurales reçu à Matignon (29/06/12)
- Etude menée par la FFT : « Attractivité des territoires rime avec équipement en très haut débit » (20/06/12)
- Allocation de rentrée scolaire : une hausse bienvenue (30/05/12)
- Composition du gouvernement : Une prise en compte globale de la famille (16/05/12)
- Précarité énergétique : parlons-en ! (18/04/12)
- Assurances : évitons les doublons ! (11/04/12)
- Préserver la ressource en eau (22/03/12)
- Deux propositions pour améliorer les droits des consommateurs (15/03/12)
- Déjà 5 Relais Familles labellisés « Maison pour les familles » ! (24/02/12)
- Téléphone portable : jamais sans mon oreillette ! (09/02/12)
- Observatoire des prix des médicaments 2011 : des prix qui varient du simple au triple (02/02/2012)
- Rachat d’or : vigilance ! (01/02/12)
- Financement de la branche famille : 65% de son budget en suspens (20/01/12)
- Retrait des boîtes postales : Familles Rurales rit jaune (18/01/2012)
- Free : petite révolution ou effet d’annonce ? (11/01/12)
- Observatoire des prix 2011 : une hausse de 4.4% des prix au cours de l’année (10/01/12)
Familles Rurales accueille favorablement la démarche dans la mesure où l'accès aux soins est la première des préoccupations des familles en termes d'accès au service public dans les territoires ruraux*. Cependant, de nombreux points sont à améliorer.
Enfin, concernant l'accès aux soins urgents, les mesures proposées sont insuffisantes à deux niveaux. Tout d'abord, aucune proposition ne porte sur l'articulation entre la médecine générale et les urgences. Or c'est indispensable pour toute médecine de proximité. Ensuite, si l'accès aux urgences à moins de 30 minutes est déterminant, l'accès rapide aux soins « classiques » n'en est pas moins important. Et là, ce ne sont pas les 200 médecins qui résoudront le problème…
Après l’alerte lancée par le Médiateur National de l’Energie, mardi, de stopper les coupures de gaz et d’électricité,
Familles Rurales rappelle l’urgence de ne pas exclure encore une fois « les sacrifiés du fuel et énergies hors réseaux ».
Familles Rurales dénonce une injustice dans l’accès à l’aide publique. Seules les énergies de « réseaux » sont aujourd’hui prises en considération (gaz et électricité), excluant de fait de nombreuses familles vivant, surtout, en milieu rural et qui utilisent le fuel, le bois et le gaz butane pour se chauffer.
Familles Rurales appelle, une nouvelle fois, de ses voeux la mise en place d’une mesure transitoire dès demain (le chèque énergie par exemple), permettant à chaque famille, en situation de précarité de se chauffer.
Il y a urgence !
Familles Rurales rappelle que malgré la baisse enregistrée des prix des produits pétroliers ces trois derniers mois (due au dispositif, mais aussi à la diminution du cours du baril), ils restent chers et continuent de peser lourdement dans le budget des ménages contraints de se déplacer et de se chauffer au fioul domestique. Leurs prix sont une préoccupation majeure pour les familles, notamment celles vivant en milieu rural.
Les mesures annoncées hier ne sont pas suffisantes. Compter uniquement sur la concurrence entre les stations services et une hypothétique baisse providentielle du cours du baril pour réduire les prix, n'est pas ce que les familles attendent.
Si le Mouvement accueille favorablement les mesures visant à mieux informer les consommateurs, en quoi le dispositif sur les autoroutes va changer leur vie quotidienne ?
Familles Rurales souligne la part importante des taxes dans le prix d'un litre de carburant qui est pourtant un produit de première nécessité : ceci n'est pas tolérable. Cela est accentué par le fait que le coût de la matière première (pétrole) n'est pas maîtrisable et que le taux de TVA est de 19.6% (au lieu de 7 ou 5.5% pour les produits de première nécessité), et passera ensuite à 20%.
Pour le Mouvement, des efforts doivent être consentis de part et d'autre :
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Par l'Etat en supprimant la TVA sur la TICPE, qui est un impôt sur l'impôt
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Par les acteurs de la filière avec une baisse substantielle de leur marge.
Même si l’abaissement du taux réduit sur les produits de première nécessité est une bonne chose, Familles Rurales s’inquiète de cette charge supplémentaire imposée aux familles pour deux raisons. Tout d’abord parce qu’elles sont lourdement touchées par des difficultés économiques et qu’elles ont d’ores et déjà été mises à contribution avec la non-réévaluation du barème de l’impôt sur le revenu, le changement d’indexation des allocations familiales…
Le Mouvement a conscience de la situation dans laquelle notre pays se trouve et en particulier ses finances publiques. Toute action mise en œuvre pour assainir ces dernières sont effectivement nécessaires et salutaires pour les prochaines générations.
Cependant, le choix opéré par le gouvernement d’augmenter la TVA, impôt indirect le plus injuste, n’est pas le bon.
Une réforme fiscale de fond s’impose, en redonnant à l’impôt sur le revenu toute sa place. Impôt progressif, prenant en compte la composition de la famille, il est l’impôt le plus juste. Les réflexions visant à élargir son assiette ou sa fusion avec la CSG sont à poursuivre.
Pour Familles Rurales, les allègements de charges des uns ne peuvent pas se traduire pour une surcharge systématique pour les familles. L’effort à produire doit être partagé et le plus équitable possible.
Cette offre constitue un réel changement dans la mesure où elle répond à une demande qui jusqu'ici n'était pas satisfaite : une recharge à coût modéré sans limite de temps. Pendant de nombreuses années, Familles Rurales a porté cette revendication auprès des opérateurs de téléphonie, en indiquant que jusqu'à ce jour, des besoins de consommateurs n'étaient pas satisfaites.
C'était le cas des utilisateurs occasionnels de téléphone portable, qui achetaient des recharges au prix le plus bas, et qui bien souvent n'avaient pas tout consommé à la date d'échéance. De la même manière, les personnes à faibles revenus, non bancarisés, étaient pénalisées pour l'accession aux forfaits les moins chers (car paiement par prélèvement ou dépôt de caution inaccessible).
C'est pourquoi Familles Rurales accueille favorablement cette nouvelle offre et encourage l'ensemble des opérateurs téléphonies à en faire de même. Elle permettra à chacun d'être joint par téléphone portable pour un très faible coût. Elle est aussi adaptée aux parents qui souhaitent équiper leur adolescent pour être joint à moindre frais (en évitant un abonnement).
Seul bémol à déplorer, l'annonce d'une offre illimitée. Dans les faits, un appel ou un sms est nécessaire dans l'année pour prolonger l'offre et conserver son numéro.
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Les boissons : l'eau est majoritairement choisie
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Les entrées : les légumes ont la cote
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Les plats : le succès du poulet et du steak haché
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Les accompagnements : un tiers de frites, un tiers de légumes
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Les produits laitiers : souvent absents
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Les desserts : pour moitié des fruits
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Les écoliers : l'eau et les carottes râpées progressent au fur et à mesure des années et les produits laitiers sont souvent choisis
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Les collégiens : de plus en plus de fruits mais aussi des plats gras, des féculents et des frites
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Les lycéens : de moins en moins de frites mais pas assez de légumes et de produits laitiers
Avec les années, on remarque une évolution des consommations alors même que le public est différent : plus d'eau, moins de plat gras. Cette évolution peut être attribuée aux différents messages de prévention très présents ces dernières années avec une forte sensibilisation autour de la consommation des 5 fruits et légumes par jour.
Le Mouvement a rappelé que la hausse du prix des carburants est une préoccupation majeure pour les familles, notamment celles vivant en milieu rural. En effet, le prix des carburants les impacte directement dans la mesure où elles n’ont pas d’autres alternatives (absence où bien faible maillage de transport en commun notamment) que le recours à l’automobile, que cela soit pour les trajets domicile travail, mais aussi pour les loisirs, les achats et l’accès aux différents services de proximité. Les conséquences sur le pouvoir d’achat ne sont pas identiques pour toutes les familles.
Familles Rurales a souligné la part importante des taxes dans le prix d’un litre de carburant qui est pourtant un produit de première nécessité : ce qui n’est pas tolérable. Cela est accentué par le fait que le coût de la matière première (pétrole) n’est pas maitrisable et que le taux de TVA est de 19.6% (au lieu de 7 ou 5.5%).
Pour le Mouvement, des efforts doivent être consentis de part et d’autre :
- Par l’Etat en supprimant la TVA sur la TICPE
- Par les acteurs de la filière avec une baisse substantielle de leur marge.
Familles Rurales attend, des négociations à venir, une décision significative : si la baisse du prix des carburants n’atteint pas 0,10 euro, il n’y aura aucun impact sur le pouvoir d’achat des familles.
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en cas de panne, l'opérateur a une obligation de réparation,
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une remise en cause des dispositions de la loi Châtel ne concerneraient pas exclusivement le secteur des communications électroniques,
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le service après vente n'a jamais été « gratuit », son financement est déjà assuré en partie par le prix payé chaque mois par les clients,
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si l'arrivée d'un quatrième opérateur a permis une ouverture, en aucun cas elle a pour but de remettre en question un modèle économique qui répond à une demande de consommateurs.
Ce rendez-vous a permis d'échanger autour des réalités de vie des familles dans les territoires ruraux et leur accès aux services notamment ceux concernant l'accueil de la petite enfance. La ministre a rappelé que toute famille devait pouvoir accéder à un mode de garde, quel que soit son lieu de vie, faisant référence ainsi à la mise en place d'un service public de la petite enfance.
De même, Madame Bertinotti a souligné que la situation des familles monoparentales ainsi que le statut du beau-parent seront, pour elle, deux sujets sur lesquels elle formulera des propositions.
Familles Rurales a rappelé ses principales propositions concernant la politique familiale, notamment l'attribution des allocations familiales pour chaque enfant, du premier au dernier et la réforme du quotient familial.
Rendez-vous est pris à l'automne pour une visite de terrain à la rencontre des familles du milieu rural.
Le Mouvement reste vigilant. Au-delà des enseignements techniques qu’Orange devra tirer, cet incident doit revêtir un caractère pédagogique : le DROIT s’applique, il ne se présume pas…
Acteurs majeurs des territoires ruraux, les Fédérations Nationales Familles Rurales et Habitat & Développement se mobilisent pour favoriser l'amélioration des conditions de vie des familles en milieu rural, grâce au programme Habiter Mieux. Il s'agira de sensibiliser le plus largement possible les ménages, de les informer sur les aides mobilisables et de les accompagner dans la réalisation de leurs travaux d'amélioration de l'habitat et d'économies d'énergie.
Le programme Habiter Mieux : une chance à saisir pour faire des économies d'énergie !
L'Agence Nationale de l'Habitat (Anah) pilote le programme au niveau national et alloue, grâce notamment au Fonds d'Aide à la Rénovation Thermique (FART), des subventions pour réaliser des travaux permettant de lutter contre la précarité énergétique. Ces subventions sont généralement bonifiées par l'intervention de collectivités locales, notamment de nombreux Conseils Généraux.
Le partenariat Familles Rurales – Habitat & Développement : allier nos forces contre la précarité énergétique !
De nombreuses actions d'information sont prévues – Articles de presse, pages internet – afin de sensibiliser et d'informer les familles. Des partenariats locaux entre les associations de deux réseaux viendront décliner cette convention nationale sur le terrain pour être au plus proche des ménages.
Familles Rurales et Habitat & Développement espèrent ainsi favoriser l'amélioration des conditions de vie pour de nombreuses familles en milieu rural.
Cette rencontre a permis au Mouvement de présenter l'ensemble de ses actions et ses activités mises en place par les familles vivant dans les territoires ruraux, les 14 propositions portées par Familles Rurales lors des élections présidentielles ainsi que le Projet jeunesse, en préparation pour 2013. Ce dernier point a retenu toute l'attention des deux conseillères.
Elles ont aussi indiqué la volonté du Premier Ministre de restaurer le dialogue social et de redonner aux institutions toute leur place. Familles Rurales a rappelé, à cette occasion, l'importance qu'il apportait à la concertation avec la société civile et rappelé son souhait de voir le Premier Ministre présider le Haut Conseil de la Famille en octobre prochain.
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Les services télécoms sont devenus incontournables pour les familles
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L'investissement consacré à l'infrastructure (construction du réseau fibre, déploiement de la 4G…) est prioritaire pour accroître la compétitivité des entreprises et l'attractivité des territoires
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Le secteur est actuellement soumis à rudes épreuves (fiscalité importante, explosion du « low cost »…)
Familles Rurales n'a pas manqué d'interpeller récemment les ministres en charge de ce dossier. Le temps est venu d'ouvrir un véritable dialogue pour qu'émerge dans les meilleurs délais un maillage numérique cohérent, partagé et financé équitablement.
Pour que concurrence, pouvoir d'achat des familles et préservation de l'emploi ne soient pas antinomiques, la fiscalité doit être repensée, un fonds de péréquation créé.
De surcroît, un effort de pédagogie s'impose concernant la fixation du prix. Les consommateurs doivent être en mesure de connaître la part représentée par le terminal, celle relative à la prestation de service en tant que telle et celle nécessaire à l'investissement des réseaux (estimation FFT : 10€ par français et par mois).
L'avenir des territoires se joue aujourd'hui, ne reportons pas à demain le courage politique qui s'impose pour voir émerger une France numérique.
Familles Rurales s’interroge cependant sur le devenir des autres prestations familiales. Les allocations familiales resteront-elles indexées sur la croissance comme prévu par le second plan de réduction des déficits fin 2011 ou seront-elles de nouveau basées sur l’inflation ?
Le Mouvement restera très attentif aux mesures prises dans les semaines à venir qui concerneront les familles.
Le médiateur de l’énergie propose plusieurs solutions pour les personnes utilisant le gaz et l’électricité :
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La garantie d’un service minimum : il s’agirait d’assurer le chauffage d’une pièce, l’éclairage et l’usage d’une plaque de cuisson
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Le chèque énergie : d’une valeur de 270 euros par an et par ménage, il aiderait les familles à faire face aux hausses du prix du gaz et de l’électricité
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Une trêve hivernale afin que les coupures soient interdites à cette période de l’année
Dans son document destiné aux candidats à l’élection présidentielle, le Mouvement leur demande notamment de mener une politique d’accompagnement des consommateurs vers des nouvelles énergies qui passerait aussi par une politique d’économie d’énergie.
Familles Rurales souhaite une prise de conscience collective sur la précarité énergétique. Des solutions pour y remédier doivent être envisagées rapidement, sans distinction sur le type d’énergie choisie pour se chauffer.
Les principales conclusions mettent en évidence une mauvaise connaissance par les consommateurs des conditions d’assurance et des exclusions de garantie. Les consommateurs sont donc parfois trop couverts, ils peuvent être assurés par plusieurs assurances pour un même risque, sans possibilité que l’une compense la prise en charge partielle de l’autre. Familles Rurales estime que les contrats sont trop complexes et qu’il est nécessaire que les banques-assurances informent de façon plus claire le consommateur sur les garanties et les exclusions de chaque contrat d’assurance.
Familles Rurales soutient donc l’avis rendu le 20 mars 2012 par le Comité consultatif du secteur financier (CCSF) - auquel le Mouvement participe - qui :
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rappelle que les professionnels de l’assurance ont un devoir de conseil et d’information auprès des consommateurs
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préconise une amélioration de l’information sur les contrats afin d’éviter les doublons d’assurance tout en ayant identifié l’existence de bonnes pratiques comme : la réalisation d’une synthèse des garanties souscrites par le consommateur au moment de la souscription, un rappel chaque année des garanties souscrites, la mise en place d’une plate-forme téléphonique répondant aux questions des consommateurs…
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propose l’élaboration d’un dépliant sur les bonnes questions à se poser avant de souscrire à un contrat d’assurance.
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Les garanties légales prévues par la loi : il est parfois inutile de souscrire à une extension de garantie qui ne pourrait pas couvrir davantage de risques.
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Les exclusions de garanties : Familles Rurales demande pour cela qu’au-delà d’une synthèse des garanties souscrites, les professionnels mettent également en exergue les exclusions. A défaut, la comparabilité souhaitée serait biaisée.
L’eau est un bien essentiel et vital à la vie, elle doit donc être disponible pour tous. C’est pourquoi Familles Rurales propose que :
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la prévention des pollutions (quelle que soit leur source : agricole, industrielle ou domestique) devienne une priorité privilégiant l’intérêt général aux intérêts particuliers
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une aide financière soit accordée pour soutenir les familles concernées par des investissements financiers importants visant à installer dans leur maison des équipements pour un assainissement non collectif
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les familles soient informées des gestes à suivre pour lutter contre le gaspillage de l’eau, favoriser sa récupération et sa réutilisation
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soit mis en application une tarification sociale de l’eau, comme prévu dans la loi du 7 février 2011
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La responsabilisation des prêteurs et emprunteurs
Cela passe d’un côté par la dissociation des avantages commerciaux et de la fonction crédit des cartes de fidélité, de l’autre par la création d’un fichier positif qui recenserait les encours de crédits utilisés par les particuliers (crédits immobiliers, crédits renouvelables…) et serait géré par la Banque de France.
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L’action de groupe
Familles Rurales est favorable à la mise en place d’une action collective pour les préjudices dont sont victimes les consommateurs. Afin d’éviter une « judiciarisation » à outrance, le Mouvement souhaite que cette procédure soit réservée aux seules associations de consommateurs agréées en respectant une procédure en trois phases :-
un jugement déclaratif de responsabilité : l’association saisit le juge sur la base de plusieurs dossiers identiques qu’elle a constitués, celui-ci détermine le comportement fautif de la société et évalue la hauteur du préjudice subi
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la publicité : une publication limitée dans le temps permet de recenser les victimes souhaitant être indemnisées
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la répartition des fonds : le juge indemnise les personnes ayant manifesté l’intention de faire partie du groupe
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Ces propositions seront présentées aux différents candidats à l’élection présidentielle.
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Corrèze : Relais Familles du canton de Larche
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Marne : Relais Familles de Dormans
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Meurthe et Moselle : Relais Familles d’Einville et environs; de Colombey-les-Belles; de Fontenoy-de-la-Joûte.
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un accompagnement des familles dans leurs démarches, notamment pour la recherche d’emploi
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une documentation variée traitant des questions de vie quotidienne et familiale
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des activités: cuisine, lecture, gymnastique, initiation à l’anglais, etc.
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du soutien à la parentalité: un espace parents-enfants qui permet aux parents de se retrouver et d’échanger sur des questions d’éducation.
Familles Rurales souhaite que cet appel à projets «Maison pour les familles» soit pérennisé afin que d’autres structures puissent rejoindre ce réseau.
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Utiliser systématiquement un kit oreillette ou Bluetooth,
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Eviter de garder le téléphone portable sur soi,
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Utiliser le mobile lorsque la réception est au meilleur niveau,
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Ne pas téléphoner dans les trains,
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Eloigner le téléphone portable de soi autant que possible.
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Des écarts de prix importants d’une pharmacie à une autre : en général un même médicament est 2 fois plus chers d’une officine à l’autre comme la boite de Nurofen 200 mg (20 comprimés) qui se vend de 1.78 à 4.50 euros. Parfois les écarts sont même supérieurs (3 fois plus cher) comme l’Activir 5% (tube de 2 g) vendu de 2.95 à 9.60 euros.
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Le libre accès reste encore peu développé : 1/3 des médicaments relevés se trouvaient devant le comptoir.
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Pourtant le prix est moins élevé quand le médicament est en libre accès mais aussi quand le pharmacien appartient à un groupement de pharmaciens.
Le Mouvement rappelle son attachement au rôle de conseil des pharmaciens et à leur présence en milieu rural.
Familles Rurales avait déjà étudié ces prestations de rachat d’or par correspondance. En effet, les risques liés à l’envoi de bijoux par courrier ainsi que leur mauvais état de restitution après estimation, ne sont pas toujours perçus par les consommateurs.
Une proposition de loi visant à encadrer la publicité relative à l’achat et à la vente de métaux précieux a été enregistrée le 24 janvier 2012 à l’Assemblée nationale. Familles Rurales soutient cette proposition qui prévoit une réglementation plus stricte de la publicité relative au commerce de l’or.
Enfin, Familles Rurales invite le consommateur à la vigilance sur les pratiques des sociétés achetant et revendant l’or, d’autant plus que leur siège se situe souvent hors frontières. Familles Rurales conseille au consommateur de comparer les offres et de se rendre d’abord chez son bijoutier de proximité qui pourra, le plus souvent, expertiser au mieux son bien et lui proposer un meilleur prix pour l’achat de ses métaux précieux tout en évitant un transit des bijoux par courrier.
Supprimer les cotisations sociales patronales de 5,4% (finançant la branche famille) et les remplacer par d’autres recettes ne sont pas sans conséquence. C’est remettre en cause le financement principal de cette branche. En 2011, le budget de la branche famille s’élevait à 52.4 milliards d’euros. Ses recettes provenaient à :
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65% des cotisations sociales (soit 33.8 milliards d’euros),
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33% des impôts et taxes affectés (17.2 milliards d’euros) dont 17.5% de CSG.
Se pose aussi la question de la gestion de la branche : quelle sera la légitimité des syndicats pour la gérer si elle est financée par l’impôt ?
Familles Rurales est ouvert à la réflexion sur le financement de la protection sociale. Mais cette dernière ne doit pas se dérouler dans la précipitation et sans les Mouvements familiaux. Elle doit garantir un financement pérenne, dédié à la branche famille, sans pour autant diminuer le pouvoir d’achat des familles.
Familles Rurales participe régulièrement à des réunions de concertation avec le groupe La Poste et l’Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes (l’ARCEP). Au cours de ces rencontres, le Mouvement a fait part de son inquiétude sur le sujet et a rappelé l’importance, pour le milieu rural, du maintien d’un service postal de proximité. Le groupe s’est engagé à garantir au moins une boîte par village, ce qui est insuffisant dans les villages comptant de nombreux hameaux.
Le Mouvement reste inquiet face aux retraits des boîtes postales qui s’effectuent sans concertation avec les élus locaux ou avec les représentants des usagers. Il s’agit d’un service de proximité qui doit le rester pour répondre aux besoins des familles et en particulier celles qui ne peuvent se déplacer facilement.
Les habitants du milieu rural ne doivent pas être les oubliés du service public postal. Le service d’envoi du courrier par Internet créé récemment par La Poste ne doit pas les pénaliser et se traduire par la disparition des boîtes postales et par conséquent l’impossibilité de poster son courrier !
Impossible ce matin d’accéder aux conditions générales de vente, véritables « loi du contrat » et seule garantie des engagements affichés par le président d’Iliad. Sans elles, comment savoir ce que recouvre concrètement « l’illimité » Free mobile ?
Par ailleurs, Familles Rurales s’inquiète de l’arrivée du crédit à la consommation proposé par Free pour acquérir les smartphones.
Loin de fustiger Free qui garde le mérite d’avoir relancé la concurrence, il est cependant difficile au regard des seuls éléments communiqués pour le moment, de savoir si ses offres sont les plus compétitives du marché et permettront de « diviser par deux la facture mobile des français ».
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Le prix du panier moyen des consommateurs a fortement augmenté en 2011 avec une inflation de 4,4% au cours de l’année, contre seulement 0,19% en 2010. Novembre 2011 restera le mois durant lequel le panier moyen des consommateurs aura coûté le plus cher depuis le début de cette étude annuelle en 2006.
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Certains produits ont connu une flambée entre 2010 et 2011, comme les jus de fruits (+19% pour les grandes marques nationales, +28% pour les marques distributeurs et même 32% pour les catégories 1er prix.
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Globalement en 2011, un panier composé de grandes marques nationales a coûté en moyenne 177,06€ contre 130,38€ pour des marques de distributeurs et 98,18€ pour des premiers prix.
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Les paniers de grandes marques nationales ont connu une hausse de 2,65% sur l’année passée, le prix des marques de distributeurs a grimpé de 4,14% et celui des 1er prix de 8,12%.
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Cette étude souligne également les mauvaises performances des magasins hard discount: Un panier de produits 1er prix a été payé 87,04€ dans les hypermarchés, 91,44€ dans les supermarchés mais 101,86€ dans les magasins hard discount.
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La baguette de pain qui n’a augmenté que de 8,9% entre 2007 et 2011 chez les artisans, a connu une hausse de 23,2% pour la même période en grande surface.
Enquête réalisée par un réseau de 65 « veilleurs consommation » issus de 34 départements dans 72 magasins. Relevés de prix de 35 produits de consommation courante, tous les 2 mois. 3 types de prix relevés: marque nationale, marque de distributeurs et 1er prix dans 4 types de magasins : hypermarchés, supermarchés, commerces de proximité, hard-discounts.